Rouleau chicon gratin

Oui, je sais, plus personne ne passe par ici pour lire les babioles insensées que j'écris, mais laissez moi espérer un peu ! Et si un énorme bug dans le code de facebook faisait que tous les liens menant à des pages mèneraient désormais à celle-ci ? Et si Coca-Cola faisait une campagne de pub titanesque, et qu'à cause d'un graphiste maladroit, les consommateurs tomberaient ici ? Et si un dictateur maléfique prenait soudainement le contrôle du monde à l'aide d'un subterfuge politique extraordinaire, et que par hasard quelques jours plus tôt il avait écouté la musique qui suit, la prenant désormais comme l'hymne mondiale de la néo-démocratie-limitative ?

Tout cela pourrait très bien arriver - certes les chances sont maigres, mais elles existent ! Si on y croise tous très fort avec notre coeur, alors peut être que les animaux de la foret se démèneront pour trafiquer les serveurs de facebook, pendant que les petits colombes iront discrètement modifier au dernier moment les plans de Coca-cola, et que les pinguins iront voter pour Igor Krestokivich II, le nouveau président royal de l'univers !

Hymne Mondial de la Néo-Démocratie-Limitative

En attendant que le monde soit gouverné par un vieux moustachu cinquantenaire à l'accent slave, je me dois de faire le propagande de son programme politique (oui, on ne sait jamais, et puis de toute façon il n'a aucun véritable opposant, alors je n'ai rien à y perdre.). Le programme de son partit (dénommé "Social Communitarian Organisate Union", S.C.O.U.) conciste donc en :

1. Donner plus d'argent aux SDF*.

2. Donner plus de choses gratuites aux pauvres**.

3. Pizza gratuite pour tous le monde***.

Oui, chers amis, je sais, le choix est vite fait. Lorsqu'un partit vous offre de la pizza gratuite, je pense que l'hésitation n'est plus de guise. Alors sortez vous affichette ! Brandissez vos panneaux ! Et faites valoir la toute puissance S.C.O.U !
S.C.O.U. PAYE UN JOUR, S.C.O.U. PAYE TOUJOURS !

*Soufreux Démunis Fondateurs (de l'aliance scou).

**Patrie Amie de l'Union Véritablement et Résolument Estimés Scou

***sous réserve d'une carte de membre-fondateur scou.

Taper un cerf avec une fourche

Non, non, je ne m’attarderai pas sur le récent flagrant manque de mise à jour sur ce blog : je l'admet bien, oui, mes promesses ne sont pas tenues, je n'ai aucune excuses valables, non, non chers visiteurs avides, qui depuis des mois déjà attendez mes mises à jours qui ne font que tarder et vous décevoir de jours en jours. Je m'en excuse, je vous supplie de me pardonner, blablabla, blablabla, de toute façon vous savez très bien que le prochain article ça sera dans plus d'un mois, je vais pas faire semblant !

Et donc, chers amis, tant de temps nous sépare depuis nos dernières discussions. Je n'ai pas le temps de vous résumer chacune des extraordinaire chose qui se sont produites dans ma vie durant ce laps de temps, alors vous devrez vous contenter d'un tas de mots-clés dans un désordre pré-déterminé afin de perturber votre pauvre aura de lecteur aux sens désuets : chocolat, bisous, chaussure, arc-en-ciel, licorne, rôtit, wahou, anniversaire, bonheur, neige, soleil, papillons, re-neige, plus papillons, robot géant, extraterrestres  invasion, "ouf, ça va mieux", chocolat, bisous, fondue, ananas, chaussettes trouées, souris, rappe à fromage, île perdue, dinosaures, vélociraptor  t-rex, "ha non en fait c'était dans retour vers le futur pas dans ma vrai vie", bisous, chocolat, et scouisme. Je ne vous cacherai par que j'ai légèrement romancé ma vie dans ce condensé des derniers mois, certes, peut être, mais j'ai une attestation signée par un médecin alors je peux.

A présent une jolie musique, toute faite pour que visualisiez bien la douceur des draps d'un lit chaud du matin dans le bras de sa chère et tendre :

From the bottom of the bed

SOIT je ne suis pas ici pour vous résumer ma vie, mais pour vous apporter DE L'AVENTURE SUBSTANTIELLE  DE L'ACTION ET DES VOITURES QUI VOLENT SUR DES TREMPLINS ET PUIS QUI EXPLOSENT DANS LE CIEL !

Alors allons y, je vais de ce pas monter dans ma Lamborghini payé par les nombreuses rentes publicitaires que me rapportent ce site si affluant par ses nombreux visiteurs, et pendant que ma compagne sera retenue prisonnière au sommet d'une pyramide humaine, foncer à une vitesse de 700km/h grâce au réacteur d'avion implanté dans ma caisse et m'envoler à travers la stratosphère, et puis en sortir au dernier moment, attraper la chérie au vol, et survivre à l'aide de mon parachute illustré entièrement par Van Gogh lui même, à la brosse à dent.

(par manque de budget, on a pas pus acheter une caméra. Mais rassurez vous, grâce au super système de transcription par écrit en live, ce sera comme si vous y étiez.)

3... 2... 1...

VVRROOOUUUMMMMMM vrvrvrvrvrvrvvvvvrrrrvvrvrvv-voiture qui accélère- rvrrrrrhhrhrHRHVRvRVRVHRvHRVHR-mise en marche du réacteur-CCRRRRCRCRRRCRRGGRRRROOOUUUUUUUUUUUMMMMMM PIIIUUUUUWWWWW-envol de la Lamborghini-WWWWWWWWWWWWWWWWWWwwwwwwwhhhhh... SHLACK BOOOOUUUUMMMMM CRASSSSSHHHH FLOU-ouverture du parachute-UUSSSHHHHH *hop j'attrape ma chérie* BIM BOUM BAM shhhshshhshsh -bruit du vent- shhshhshs.

Et voilààà, merci, à la semaine prochaine pour quelque chose de toujours plus textuelospectaculaire !

Hors Série

Récemment, toujours logé dans les bras de mon adorable et merveilleuse compagne, j'ai joué à un certain truc remplis d'action et d'explosions en tout genre, un de ces machins où on incarne un preux chevalier du grand nord et où on traverse les contrée en collant des baffes aux loups, araignées, voleurs et dragons qu'on croise. On aide les petits gens avec de petites quêtes, et puis aussi les princes et les empereurs qui ont de plus gros problèmes. Puis entre deux grottes à vider de toute vie, on manges quelques oeufs crus pour deviner à quoi ça pourrait servir, et on se forge un petit blouson brodé en verre. On voit le monde grandir autour de nous, les gens changer d'attitude en fonction de vos actes, les guerres se propager et les dragons se multiplier, la peur se graver au fond des yeux des enfants qui, pourtant, courraient il y a encore quelques heures dans les ruelles de Blancherive.

Jusqu'ici, ce blog se limitait à des blablateries incenssées sur des sujets tout à fait impalpables, certes parfois poétique, parfois idiots, plus souvent absurdes, mais cessons un peu ces élucubrations dantesques, j'aimerais pour une fois aborder un tant soit peu un sujet qui me concerne, et que j'aime explorer régulièrement, via articles, vidéos, ou simplement ma propre réflexion.

Comme dit dans l'article précédent, durant le week-end que je viens de terminer j'ai été visiter le musée d'art moderne de Paris (aussi dénommé centre Pompidou), remplis de toute sorte d'oeuvres, donc je ne peux juger la qualité ni le travail artistique, à peine puis-je dire que certaines me sont plus touchante dus à des éléments familiers  tandis que d'autre, trop abstraits, ou trop tordus, me paraissaient juste trop hors d'accès pour moi. Nombreuses sont les oeuvres remettant en question le travail artistique en tant que tel (tel le travail de Duchamp, si peu esthétique soit il, qui pose devant nous la question : qu'est-ce que l'art ? Je ne m'y risquerais pas, j'ai déjà tenté l'affaire il y a quelques années, la question est restée sans réponse.), nombreuses aussi sont celles proposant de nouveau support, amis rares sont celles proposant une quelconque forme d'interactivité avec le spectateur. On stagne, on admire, on tente tant bien que mal, des fois, à rentrer dans les idées d'un auteur qui veut nous offrir quelque chose, une émotion, un point de vue, ou juste une idée. Des fois on reste bloqué devant quelque chose de trop étriqué, peut être, ou de trop lointain à notre culture propre que pour s'y identifié.

Et pourtant le jeux-vidéo nous l'a démontré, lui, par exemple, de très nombreuses fois : une certaine dynamique entre l'oeuvre et le spectateur permet de s'introduire dans un univers qui, pourtant, à première vue, nous est tout à fait étranger. L'univers de Space Opéra de Mass Effect ne m'a jamais, par exemple, intrigué avant d'y avoir joué, et les premières minutes de jeu m'ont été difficile, étranges. Mais dés les minutes où le héros se démène de nos pâtes  on sent qu'il est perdu, on ressent le désespoirs de voir son navire s'écrouler tout autour de lui, son existence chavirer, son honneur se dilapider et son petit corps étriquer tenter de s'en sortir dans le cosmos étouffant. Et lorsque le jeune Raz, héros de Psychonauts, raconte après 5 minutes seulement sa fuite du cirque clandestin de ses parents, et qu'on obtient la liberté de se promener comme bon nous chante dans cet étonnant camp psychique, on sent ce souffle de liberté qui prend déjà notre jeune héros. S'attacher au Big Daddy Alpha de Bioshock 2, être touché par les pauvres Pikmin qui périssent suite au décollage prématuré de notre pauvre capitaine, ou vouloir sortir Isaac de cette foutue grotte au plus vite, sous peine de voir son horrible mère le trucider : aucun de ces univers ne m'est proche, mais pourtant en m'incarnant dans la peau de ces personnage, je m'éprend de leur univers.

Plus frappant, il y a quelques années, au détour d'un travail de longue haleine pour l'école, je me suis risqué à tenter l'expérience de Rez et de Killer 7. Si j'avais eu devant mes yeux une oeuvre inaccessible de mes mains résumant cette expérience, j'y serais resté fermé : graphiquement autant que musicalement, nous sommes devant deux ovni hors d'accès. Mais pourtant, manette en main, l'impression est différente. On part au secours d'Eden sans hésiter une seule seconde, en tirant sur chaque navire virtuel qui passe, on prend plaisir à entrer dans l'univers des Smith sans trop en percevoir le bout, mais quelque part, l’immersion est là, l'attachement se fait, parfois on étouffe, mais on est dedans.

Je ne fais là que quelques constats, rien de plus. Peut être me risquerai-je un jour ou l'autre à tenter quelque chose d'interactif, mais visant à être placé au milieux d'un musée. Peut être. Ou alors faire du gâteau  Oui, du gâteau  ça me tente mieux.

Quand c'est trop c'est...

Ca manque foutrement de poésie par ici ! L'autre jour, voyez, j'ai été avec ma tendre et chère à Paris à dos de notre licorne Rose (qu'on a appellé - temporairement- Herbert). Une escapade pleine de culture - Oui, voyez, nous somme des gens cultivé, nous nous gavons au réveil d'un bouillon de de Duchamp, passons nos journées à admirer du Miró et des Brassaï, pleurons devant Gimel et nous endormons sous les nappes mélodique d'un bon Xenakis -, mais aussi pleine d'un romantisme fluctuant de poésie et de douceur de ces moments uniques qu'on savoure par grande bouchées. Oui, oui, un de ces week-end qu'on oublie pas, parsemés de regards, de mots doux, de doux moments, de moments forts. 

Mais me voilà déjà de retour au fond de mon pieux poussiéreux  duquel j'aperçois clairement ce blog là bas, qui manque foutrement de lyrisme, de poésie, de théatralisation burlesques et de douceurs claquantes, clinquantes et parfumés d'un doux arôme de chocolat.

Afin de marquer un instant de suspens dans ma déclaration d'euphorie poétique et de bonheur romantique absolu, je vais vous présenter un peu de musique qui devrait vous plaire, je l'espère tout du moins. J'ai écrit ceci en l’honneur de ma dulcinée, afin de lui offrir punch et motivation durant toute la longueur de ses examens. Premier essai d’orchestration  tentatives de quelque chose de frai et de plus pep's, c'est encore un peu expérimental, mais ça fonctionne. Ecrit avec amour ♥

ALORS AMIS DU MATINS de 16h, il est temps de rassembler vos thermes, d'empaqueter vos phrases et d'envaliser les abréviations conjoncuteulles, à présent je tape, je tape et je retape sur mon clavier ce qui me passe par l'esprit, je note, je renote, je conjugue et je décris. Celle que j'aime, souvent, voir toujours je dois vous l'avouer, mais aussi ce que je n'aime pas, ceux que je juge, comme ce petit rat qui dévore le reste de mon paquet de corn-flaques (qui ne traîne dans le coin de cette chambre que depuis une douzaine de semaine, je ne comprend pas comment il a pus se l'approprier si vite, et ce sans ma permission, qui ne demande pourtant que la signature du maire, de 200 mandataires et de la réception d'une boite de chocolat de 1ere qualité 4 semaines à l'avance !)

Je déclare donc ouvert le marathon poétique international auquel je participerai seul et où tous les dons seront reversé à "Moi", célèbre association caritative dans le but est : "Avoir plus d'argent". Je vous remercie, et je m'encours de ce pas écrire du jugulentes déformations textuelles qui, je l'espère, vous décevrons tous en chaque instant !

The fun will never end !

Et donc, en ce beau jour de mai, je voulais vous souhaiter à tous un joyeux Noel, une bonne année, et de bonnes fêtes ! Sauf que non, je ne vais pas le faire, parce que je n'aime pas ça, moi, monsieur, madame, les fêtes religieuses, pro-catholiques qui prônent l'esprit saint ! Jésus  moi, je le connais très bien en vrai, et il est pas né d'une manière "miraculeuse", et jamais il a ressuscite le mec, non. Non, il est pas mort c'est tout. Je vois pas en quoi tout le monde trouve ça si incroyable, ben ouais, quoi, il a 2000 ans, ben moi aussi, moi aussi dans 2000 ans j'aurai 2000 ans, est-ce que j'en fais tout un plat ? Rhalala, ces gens qui sacralise la simple longévité, je ne le comprendrai jamais. Soit, non, je ne vous souhaite pas noël  PAR CONTRE, toute l'équipe Scou vous souhaite à tous un joyeux Scouiel, la fête officielle Scou, qui fête l'anniversaire de notre ami fondateur Scou Duckducker, qui mérite donc comme récompense tout à fait exceptionnel un superbe CAILLOU SCOU ramassé sur le bord de la route Scou. Bravo, tu le recevra dés que tu auras fini ta donation Scou annuelle de 17.000 tonnes de lingots d'or.

Ceci dit en passant, je voulais vous annoncer que ma musique est à présent partiellement disponible sur le richissime site de partage d'animatronic : Youtube ! Je vous invite donc imminament à partager sans limites mes vidéos, autant que vous le désirez, à profusion, jusqu'à se sentir noyés sous les liens et que la toile entière soit couverte de ma musique sacrée.

Et pour fêter tout ça, une jolie musique, extraite directement de mon opéra "Mr Prout et le secret de Câlins " (production en 2014).

Outre toutes ces si nombreuses nouvelles hors du commun, je me dois de vous annoncer que nous entrons dés à présent dans la partie de l'année dites du "blocus". Ho, que ce nom fait peur, mes poils en frémissent déjà, le vent glacial se glisse par la porte, les lumières déjà fébriles clignotent toujours plus, oui, mais non, non car justement. Justement, il est temps pour moi de doubler la cadence et de vous offrir d'autant plus d'articles détonnant, de musiques explosives, de mot pour toi, chère lecteur (et particulièrement toi, lectrice aux yeux marrons et aux cheveux brun-presque-noirs aux allures trigresques, habittant dans la célèbrissime ville de Soignies, aiment entre autre le chocolat et le nailart, au prénom commençant par Nur et finissant par ihan, et au nom commençant par un Z et terminant par A, R, B, M et encore A.). Alors n'hésitez pas, entre deux lignes de texte lourde et abrutissantes, venez vous régénérez l'esprit à coups de lettres et de phrases insensées, de sons abjectes et de l'esprit de la licorne sacrée qui abreuve ce blog.

A présent, je dois retourner au pays des lapins pour en capturer au moins une centaine, sinon je n'aurai pas ma bisque de homard qui me donne tant appétit ! Adieu !

Désormais je ne mangerai plus que du cerf à l'échalote

"J'étais un peu partit dans l'esprit d'une blanquette, je suis resté assez tradition, la viande je vais la cuire en grosses pièces comme ça c'est plat pour gagner du temps pour la cuisson et je vais bien la faire dorer et après je vais la finir au four. Donc je vais la revisiter un peu avec des légumes différents. Je suis partit sur une compotée de choux vraiment bien confite, et des pommes de terre - en fait j'ai fait des grosses pommes de terre pochées au lait et braisées, après. Pour moi, aujourd'hui, il fallait pas s'étaler et partir dans des recettes compliquées, il fallait vraiment aller à l'essentiel, la générosité et voilà, c'est ce qu'il faillait faire quoi."

Je tenais à vous partager cette citation de Cyrille, de Top Chef, qui m'a chamboulé tant par la beauté de ses mots que par la force de frappe de ses métaphore. On ressent bien la critique de la société au travers de sa blanquette de veau, on sent la puissance qui traverse chacune des ses phrase et qui vient directement nous frapper le visage et réveiller nos sens, oui mes amis, oui les pommes de terres pochées au lait et braisées - évidente métaphore de l'hyperconsumérisme et du capitalisme instinctif que nous impose notre société - seront couverte de choux confits - qui représente si bien les mouvements réformateurs de la jeunesse qui désire s'extirper des moules imposés par le gouvernement !

Soit, cessons de débattre sur le sujet, ça me gave déjà à mort guedin.

Hop hop hop en ce beau jour de quasi-printemps une jolie compo qui vous fera vous réjouir de tristesse, parce qu'en fait c'est pas très joyeux, mais fort joli ! C'est pour piano et 4 de ces instruments avec des cordes où qu'on frotte avec d'autres cordes dessus (tuba, si je me trompe pas de nom) et puis c'est tout.

(monte pas trop le volume, parce que même si c'est très pas fort au début, ben plus tard ça l'est beaucoup plus)

"Maltyuijhak"

Vous aurez remarquer, mes très chères amis, que celà fait à présent presque un mois que je met mon blog à jour toutes les deux semaines, et j'aimerais me féliciter pour ce travail bien accomplis *clap clap clap* "ho, non, arrêtez, je ne mérite pas toutes ces médailles, hahaha, j'aimerais remerciez ma chérie sans qui je n'y serais jamais arrivé si elle n'avait pas été là pour me soutenir et m'encourager, et puis mon bro sans qui il n'y aurait que moitié moins de commentaire sur ce blog, et puis mes amis et amies scous, particulièrement mes deux confrères-et-soeur fondateurs, Nunicorn et Duckducker, et puis aussi ma douce chérie d'amour sans qui je ne serais pas là, et puis toute la corée du Sud qui sont venus si nombreux à mes concerts, et puis aussi ma tigresse sans qui HEIN ? COMMENT ? DES DAUPHINS AVEC DES HARPONS ?

Je vous avais prévenu il y a deux semaines, MAIS VOUS NE M'AVEZ PAS ECOUTE ! Il faut empoisonner les eaux, y lancer des bombes nucléaires, IL FAUT LES TUER UN PAR UN AVEC DES COUTEAUX, mais vous ne m'écoutez jamais, et à présent LE BLOG SE FAIT ENVAHIR !

DEFENDEZ VOUS AMIS TIGRES !

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Fin de transmission

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Il ne nous reste que 18 jours!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Aujourd'hui est un jour grave.

Ma belle soeur, dans toute son innocence juvénile, naviguait sur l'internet tout puissant, lorsque, au détour d'un site web d'information journalistique d'une banalité tout à fait ordinaire, elle découvrit une odieuse nouvelle, oui, je dis odieuse parce qu'en effet en ce jour, nos ennemis, depuis longtemps tapis dans l'ombre des bungalow se sont éveillé, de leurs crocs de haine pure, et de leurs regards ensanglantés.

Je me devrais avant tout de préciser que depuis bientôt une petite semaine, ma très chère compagne et adorable amoureuse ainsi que sa merveilleuse et chaleureuse famille m’accueillent dans leur humble demeure suite à ma nécessite de fuir ma chambrette estudiantine. En effet, un dragon de 14 mètres de haut a mit le feu à la quasi entièreté de la salle de bain de 2m², et a donné un nombre de coups incalculable dépassant largement l'unité. Suite à cela, mon micro-onde ainsi que mon frère-frigo ont fait des dépressions tout à fait incontrôlable, et ce qu'il restait de mon appartement s'est vu réduire en une vaste blague alliant musique moderne de mauvais gout, insultes de babouins fous et tremblements de murs incessant. Sans oublier la confiture, pourrie, elle aussi. Soit, je vis à présent des jours heureux au sommet des monts de Soignies, entourés de mes amies vaches à qui je raconte des histoires chaque soirs avant d'aller dormir, mais aussi et surtout de ma tendre et belle chocodulcinée cosmique.

Soit ! Revenons en au sujet qui nous tracasse tant, nous, ennemis des mammifères grisâtres vivant en milieu aquatique ! Comme la vidéo ci-contre le prouve si bien, leur passivité n'est qu'une couverture : en effet ils ne font en réalité qu'attendre un signe de faiblesse avant de nous sauter à la gorge, et de leurs nageoires pleines de maléfismes nous porter des attaques tout à fait lâches. Lâcheté, tel est le mot qui les décrit, s'attaquer à de pauvres bambins, cela tient du ridicule.
Alors voilà ce que je propose, cousins lecteurs, il est temps de s'unir, il est temps de se rassembler, il est temps de dire NON à ces créatures difformes que sont les enfants ! Heu... Que sont les dauphins ! Prenez vos haches, brulez vos torches, armez vous de vos plus éguisées brosses à chiote et battez vous, dans la rue comme dans vos propres maisons, dites leurs "NON bête de cirque, je ne veux pas te voir autre part qu'au millieu d'une piste à sautiller de cerceau en cerceau, et encore, pas plus de 20 minutes, sinon, mes sucs gastriques prendront le dessus !".

Je compte sur toi, attentif petit lecteurs binoclard aux poil pré-pubiens inexistants ! Je compte sur toi aussi, vieil homme perdu sur la toile, qui ne cherche que des charmants sites de pornographie pédophile ! Et toi, toi, pauvre petite créature rétractée sur toi même qui ne cherche rien d'autre qu'un anneau joliment décoré pour les contrôler tous, toi aussi arme toi de ton plus joli pagne putride et sort te revendiquer, tu as le droit d'exister, tu as le devoir de te battre !
(Sauf toi, le nègre.)

(Non.)
Sur ce, je retourne tenter de rallumer le feu qui me permet de ne pas mourir de froid, du fond de ce jardin. Surtout que d'ici, je peux apercevoir dans l’entrebâillement de la fenêtre la famille que j'aimerais tant avoir s'amuser et rire en cœur...

(Mais bientôt, bientôt une famille sera mienne...)